EMEUTE A FORT DE FRANCE

Hébé bagay la cho

Vous détruisez la Guadeloupe avec ces comportements !!!! ça y est,> bientôt plus personne ne pourra profiter de ces 200€ demandés.> Des milliers d'entreprises vont devoir fermer leurs portes et ainsi
> générer des chômeurs, encore des chômeurs pour augmenter cette
> population d'assistanat.
> Des étudiants, lycéens privés de leur scolarité, votre entêtement
> conduira à l'échec de leurs examens. Nombreux sont ceux qui sont
> démotivés, découragés par cette situation.
>
> RéVEIL, Réveil…………………………………………. N'oubliez pas que toute la population
> n'adhère pas à votre mouvement sinon il y aurait les 400 000 habitants
> dans les rues. Vous privez des milliers de personnes de leurs emplois
> contre leur volonté. L'usage du droit de grève est démantibulé. Vous
> proférez des menaces à l'encontre même de ceux qui font l'économie
> de cette île : les ouvriers.
>
> De nombreux points de revendication ont abouti, laissez nous
> reprendre le travail afin que nous aussi nous puissions faire des projets,
> fonder notre famille, goûter à 1% du bonheur.
>
> LKP, ne laissez pas les choses en l'état. Ne sacrifiez pas des vies
> entières pour 200 €. La baisse générale des prix en Guadeloupe, tout
> ce qui a été obtenu jusqu'à présent, contribuerait déjà à augmenter le
> pouvoir d'achat de nombreux foyers. Ne privez pas les mères, pères de
> famille de leur emploi car tout le monde n'est pas FONCTIONNAIRE et
> tout le monde n'est pas payé par l'ETAT comme DOMOTA.
>
> Il y en a MARRE, ras le bol de cette autarcie proclamée par un soi-
> disant LEADER (fonctionnaire, payé par l'Etat) qui mène le petit
> troupeau de brebis égaré et désabusé.
>
> Réveil, car ce lendemain de cette grève générale sera peut-être la
> dernière chose qui nous restera après coups.
>
> Lyannanj Kont Pwofitasyon = Libèté Ka Péri
>
> Stéphanie BRISSAC, jeune employée dans le privée en colère et
> bientôt licenciée par VOUS, le LKP
>

L'information qui suit me confirme malheureusement qu'une  fois encore nous ne traitons que partiellement les  problèmes. 
Je crois même que l'une des personnes citées "monsieur José  Jean Baptiste " est membre du collectif du 5 février.  A ce propos, lors des rencontres en Préfecture, il a même  été supplié par un représentant de la grande distribution,  de bien vouloir accepter "s'il vous plait", de ne pas  laisser repartir les bateaux.

A cette demande, aucune réponse 'en tout cas lors des  débats", n'a été faite.  Voilà où nous en sommes. Jamais n'a été abordée la question du monopole des dockers à  la Martinique. J'ai aussi appris à ma grande surprise que si un docker  décide de quiter sa cabine, personne n'a le droit de le  remplacer.

Il paralyse alors le portique. Ce n'est pas le  cas par exemple au port de Marseille. C'est encore un  privilège propre à notre chere martinique (et peut être à la  Guadeloupe, ???)  Quoi penser ???? -

lire l'article .La vie de Nabab des dockers de Fort de France..